La Duchesse De L’Autoroute. (9x14)

Avant qu’elle frappe à la porte j’ouvre à Diane petit bout de femme qui conduit pourtant un long véhicule.
Dès que son regard croise mon regard je comprends pourquoi malgré sa carrure elle est capable de dominer un tel monstre, je suis aussi sûre que question défense elle doit en imposer à tous les mâles qu’elle croise tout au long de ses déplacements avec son gros bahut.

• Vous êtes déjà nues, vous m’intimidez.
• Toi, si forte à la radio, j’ai apprécié la manière dont tu as rembarré le chauffeur qui te proposait de te baiser, tu as toujours préféré les femmes aux hommes ?
• Non, je vais vous paraître un peu nunuche mais c’est la première fois que je suis avec des filles nues.
• Veux-tu que l’on remette nos vêtements, depuis que nous vivons ensemble et que nous travaillons toutes les deux après avoir pris notre douche dans la petite salle de bain nous apprécions de vivre nues ?
Regarde la Comtesse elle vient d’en prendre une et elle sèche ses cheveux.
• Resté comme vous êtes, je vais me mettre à l’unisson et me déshabiller mais d’abord combien je vous dois pour le moment que vous allez me consacrer.
• Veux-tu avec l’une ou l’autre ou les deux ensembles ?
• Je crois que j’aurais moins peur si vous étiez toutes les deux.
• Alors ce sera 200 € la demi-heure ou 1 000 € pour la nuit.
• Je vais prendre une demi-heure pour commencer.
• Explique-moi, quand tu es arrivée j’avais devant moi une tueuse rien que par ton regard et là depuis que j’ai fermé la porte de notre petit nid d’amours je retrouve une jeune fille timide et gauche.
• Je vais être franche, c’est la première fois que je rejoins des filles pour passer un moment avec elles.
• Pourtant l’autre chauffeur t’a interpellée comme s’il savait que tu es une gougnotte de longue date et pleine d’autorité.
• C’est une façade.
• Dis-nous, le temps on s’en fiche, tu sembles si désemparée.

Je l’ai guidé vers le petit canapé ou pour manger nous ouvrons la table et je la prends dans mes bras, elle vient poser sa tête sur mon épaule.



• Je suis diplômée et même sur-diplômée, quand j’ai cherché du travail toutes mes lettres sont restée lettre morte sauf trois qui me disaient que j’avais trop de diplômes pour le poste à pourvoir.
J’ai lu les petites annonces à l’ANPE et j’ai vu qu’il y avait de nombreuses offres pour des postes de chauffeurs de poids lourds, je me suis inscrite pour un stage proposant de passer le permis poids lourd de base et j’ai réussi avec mention, j’étais très douée pour faire une manœuvre, le camion était toujours garé au millimètre à côté d’un autre.
Je venais de rencontrer Adrien un jeune homme de bonne famille qui voulait m’épouser, il m’a pris ma virginité et j’ai adoré faire l’amour avec lui, il m’a tout appris et je vais être franche chaque fois qu’il souhaitait quelque chose je le faisais.
Il m’a donné à d’autres hommes mais j'étais tellement devenue accro que nos jeux devenaient de plus en plus dangereux, j’étais prête à continuer mais je partais avec le camion de la société qui venait de m’engager pendant plusieurs jours.
Une fois j’ais oublié mes papiers alors que j’étais partie pour quatre jours, ma route repassait près de chez lui car nous avions emménagé ensemble.
Il y avait une autre voiture que la sienne dans la cour et quand je suis entrée, la salope qui lui servait de terrain de jeu pendant mon absence se promenait à quatre pattes dans la salle avec comme seul vêtement un collier de chien et une laisse.
Il tenait en main une cravache et lui flattait les fesses par des petits coups les rougissant.
J’étais cachée à leur regard, il lui a dit qu’elle était un gentil toutou pas comme cette conne de chauffeur routier qu’il allait virer dès son retour.
Je suis montée dans la chambre sans qu’ils me voient et j’ai fait ma valise sans oublier mes papiers que j’avais laissés sur la table de nuit.
Je suis redescendue, ils étaient dans le couloir, ils ont été surpris de me voir avec ma valise, je suis passée près d’eux sans un regard lâchant simplement « la conne de chauffeur a le plaisir de te dire merde » et j’ai rejoint mon bahut.

• Et pour les femmes ?
• J’ai repris la route et j’ai rapidement vu que j’étais dans un monde de machos qui passait leur temps à vouloir me sauter, sur la radio j’étais la cible de tous les colibets.
Alors un jour ou j’ai demandé à la radio si tout était clair, pardon c’est un terme pour savoir si un tronçon de route est dégagé ou si les bleus font des contrôles car j’avais dépassé mon temps de conduite.
C’est à ce moment que deux d’entre eux se sont permis de me faire des avances me proposant de me prendre en double pénétrations, je l’avais pratiqué fréquemment avec Adrien dans nos jeux assez dépravés.
J’ai failli accepter me reprenant rapidement car je savais que ma vie serait un enfer, chaque routier le saurait car ils sont incapables par la CB de garder un secret et je savais que cela se terminerait par une perte de mon travail.
• Pourquoi, un petit coup aurait pu être sympa ?
• Je vous ai dit que j’étais devenue accro au sexe et j’avais rencontré pendant mon stage de conduite une jeune femme qui conduisait les bahuts qui avaient vécu une expérience similaire et qui s’arrêtaient à tout moment pour se faire enfiler surtout si à la radio ils lui disaient qu’il en avait des grosses et s’est trouvé viré.
J’ai pris mon micro et les mots sont sortis sans que j’aie besoin de réfléchir.
• Tu leur as dit que leur queue te laissait indifférente et que tu étais une suceuse de chatte.
• Tu y es, c’est exactement ce qui s’est passé et depuis dans la profession tous font des allusions mais certains sont encore dubitatifs.
Je viens de prendre mon poste pour conduire les longs véhicules après avoir passé mon permis spécifique quand en Roumanie un chauffeur m’a parlé de deux putes la Comtesse et la Duchesse qui tapinaient entre Mâcon et Beaune.
Ma route me donnait la possibilité de passer par ici et j’ai décidé de passer un moment avec l’une de vous et quand tu m’as proposé de faire l’amour à trois j’ai trouvé le jeu amusant, mon instinct de salope qui remonte en moi.

• Il y a presque une heure que nous sommes ensemble.
• Mince, je jacasse et on a rien fait, je pouvais vous consacrer le seul argent que vous m’avez demandée, je reviendrais une autre fois.
• Juliette qu’en penses-tu ?
• Vu le cas très grave que Diane représente je propose une nuit de plaisir si elle peut rester près de nous.
• 1 000 €, vous êtes folles, impossibles.
• Et le temps ?
• Je dois faire ma pose de nuit j’ai tout mon temps, vous remuez le couteau dans la plaie j’aurais tellement aimé connaître les plaisirs que peuvent se donner les femmes, demain je vais repartir encore plus déprimer car je vous aurais vue nue toutes les deux.
• À poil salope, on va te faire voir de quoi nous sommes capables.

C’est comme cela que nous lui montrons ce que des femmes sont capables de faire ensemble, ses seins petits et mignons sont caressés, légèrement torturés lui faisant émettre de petits cris de plaisir plus que de douleurs.
Sa chatte épilée ainsi que les nôtres ont toujours une langue, des lèvres, des grandes lèvres, des doigts pour la forcer à écarter plus grands ses cuisses.
Toute une partie de la nuit notre habitacle bruisse de petits cris, de grandes jouissances chaque fois que l’une de nous nous éclatons, quand l’une de nous semble être épuisée une autre la relance en trouvant un jeu plus délirant que le précédent.
Diane se trouve être très forte pour nous faire des feuilles de rose qui enflamme nos anus, je comprends que lorsqu’on la lâche dans la nature elle ait été capable de tous les débordements avec son amant mais au fil de la nuit j’ai eu l’impression qu’elle était capable de devenir une femme dominante.
C’est certainement en voyant la femme avec son copain se faire dominer qu’elle a dû se sauver car dans un couple il est impossible que les deux soient le Maître de l’autre.
J’en fais l’expérience car depuis que je suis en couple avec Juliette je m’aperçois que chaque fois que nous recevons des rendez-vous sur la radio, toutes les situations les plus glauques me sont réservées et au fil du temps j’adore recevoir ses ordres.


Au matin elle nous quitte après avoir déjeuné avec nous.

• Les filles, c’est Diane, merci pour cette nuit de rêve, on recommencera à mon prochain passage.

Je suis assise sur le siège co-pilote et je vois à trois mètres de moi la petite qui appuie sur son micro pour me parler, elle me fait signe de surenchérir sur ces propos.

• Merci ma belle, tu nous as ravagées, la chatte de la Comtesse est hors d’usage pendant 24 heures, moi pour ma part je vais aller me coucher et faire le tour du cadran pour récupérer.
• Vous êtes des petites natures je me suis à peine échauffée avec vous.
• Diane, je comprends que les bites de mecs te font horreur, tu sais très bien contenter les femmes avec tes doigts et ta langue, j’ai adoré quand tu as frotté ta chatte sur la mienne tu m’as mis le clito en feu.
• La miens aussi, merci les filles à bientôt je quitte le parking.
• Attends salope, c’est le Taureau, reste là, j’arrive, si ta langue est si douée ma bite va l’apprécier.
• Ralenti pilote, ton bahut est en surchauffe repose-toi jusqu’à demain où demande à la Duchesse de te sucer mais bien sûr n’oublie pas de la payer, à moins que ta femme se refuse à toi, j’en parlais avec Gustave, tu connais ?
• Non qui est-ce ?
• L’amant de ta femme, il roule souvent jusque chez toi, tu es bien des Ardennes.
• Non de Metz.
• A oui je confonds, il est de Nancy.
• Tu te fiches de moi Diane ma femme est fidèle.
• Oui à la bite de Gustave, c’est connu dans ta région.
• Et les filles arrêtées de traumatiser le Taureau, je suis derrière lui et son camion zigzague devant moi, il va nous foutre en l’air.

C’est ainsi que l’épisode Diane se termine, elle commence à rouler et Juliette qui a remis sa petite culotte et son soutien-gorge démarre évitant d’avoir à nous confronter avec le Taureau.

• Duchesse après la bonne soirée même nuit que nous venons de passer avec Diane il va falloir travailler dur ce soir car avant qu’elle nous quitte je lui ai mis ses 200 € dans sa poche.
• Tu as bien fait, attends, je passe à l'arrière dès que tu l’as doublé, car je vais me retrouver avec un attentat à la pudeur.

Nous faisons des grands gestes en passant vers Diane qui nous envoie des baisers avec sa main sur sa bouche que j’ai eu plaisir d’embrasser jusqu’à son départ….

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